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Située au milieu de l’arc antillais, la Guadeloupe est composée de deux îles : la Guadeloupe proprement dite, appelée aussi Basse-Terre, d’origine volcanique, atteignant 1464 mètres d’altitude à la Soufrière, séparée par un détroit, la Rivière Salée, de la Grande-Terre, île calcaire.
Une longue dorsale montagneuse divise la Basse-Terre : à l’est, la Côte-au-Vent et à l’ouest, la Côte-sous-le-Vent qui est baignée par la mer des Caraïbes. La Côte-sous-le-Vent compte du nord au sud cinq communes : Deshaies, Pointe-Noire, Bouillante, Vieux-Habitants et Baillif.
Le nord de la Guadeloupe, la partie la plus montagneuse, est marqué par un volcanisme ancien; la phase d’érosion qui a suivi a généré des reliefs rocailleux, appelés mornes. Les sommets, ayant une altitude moyenne de 800 mètres, sont très proches de la mer, ce qui réduit d’autant les plaines littorales. Les cours d’eau, de rapides torrents, ont creusé des vallées étroites.
En revanche, la partie méridionale de l’île est une zone de volcanisme récent. Au fur et à mesure que l’on se rapproche du massif de la Soufrière, notamment à partir du sud de Bouillante, le relief est moins accidenté, les cendres, les tufs, les lapilli n’ayant pas encore été érodés. Les sommets, dont l’altitude moyenne est pourtant plus élevée, sont plus éloignés de la mer. Les pentes sont moins fortes ; les crêtes comme celles de Morne Soldat ou de Baillif dominent des zones de plateaux, propices à l’agriculture.
À la différence de la Côte-au-Vent ou Capesterre, abondamment arrosée par les alizés humides arrêtés par les sommets de la chaîne volcanique, la Côte- sous-le-Vent est soumise à des vents asséchant. De ce fait, la région côtière est chaude et sèche avec de longs carêmes. Néanmoins, dès que l’on prend de l’altitude, les précipitations augmentant, la végétation de savane et de taillis laisse place à une forêt hydrophile luxuriante. De Basse-Terre à Vieux- Habitants, le littoral est aride et n’est couvert que par une végétation rase. Les effets du vent plus prononcés dans cette partie, conjugués aux dégradations des hommes et du bétail, expliquent la disparition de la forêt basse (bois-savonnettes, gommiers, bois de rose et merisiers) qui subsiste à partir de Bouillante. La coexistence de ces deux types de végétation est unique en Guadeloupe. Plus d'info sur
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Voyage & Histoire de la Guadeloupe
L’occupation précolombienne de la Guadeloupe s’étend entre 2000 avant notre ère et 1493 après J.-C. Des prospections ont été engagées pour mieux connaître l’histoire amérindienne de cette partie de la Guadeloupe. Les sites repérés sont localisés essentiellement le long de la côte, au fond des anses et dans les estuaires où leur détection est relativement aisée. Ils ont été identifiés la plupart du temps grâce à la présence de tessons de céramiques, de débris et de coquillages... découverts à même le sol ou dans des affleurements.
Ces éléments ne sont pas toujours suffisants pour attribuer l’occupation du sol à une ou plusieurs périodes. Depuis peu, d’autres vestiges archéologiques ont été mis en évidence sur les mornes et dans les fonds de vallée. Les conditions d’observation y sont moins faciles et l’importance de l’occupation de l’intérieur des Dégagement de terres reste difficile à appréhender. Toutes ces Robert (Baillif). découvertes permettent, cependant, de dessiner une trame du peuplement, certainement encore assez éloignée de l’occupation humaine réelle. Des sites restent encore à trouver dans l’épaisseur des dépôts sédimentaires des estuaires ou des grandes plaines alluviales.
Si quelques sites ont pu être ici comme ailleurs endommagés ou détruits par des cataclysmes naturels tels que les crues ou les houles cycloniques, un facteur limitant plus spécifique caractérise la période précolombienne de la Côte-sous-le-Vent. Celle-ci est, en effet, directement soumise à l’influence des éruptions volcaniques de la Soufrière. Après une longue période de stabilité, trois grandes crises ont été identifiées durant notre ère : celle aux environs de 360 qui a vu la mise en place progressive des massifs de l’Échelle et de la Citerne, celle de 1280 connue par des nuées ardentes et surtout celle - très importante - de 1440 responsable de la mise en place du dôme actuel. Elles ont dû certainement peser sur l’environnement et conditionner l’occupation de cette partie de la Basse-Terre. Les plus anciens récits et comptes-rendus suggèrent qu’aux tout débuts de la colonisation, cette côte n’était plus guère habitée si ce n’est vers Vieux-Fort et Basse-Terre.
Quelques fouilles ou sondages commencent à documenter ces occupations. Tous se rapportent à notre ère et concernent des populations d’horticulteurs-potiers. C’est le cas de Grande-Anse de Deshaies où un sondage en retrait de la plage a permis d’identifier une couche dépotoir assez dense, dont le matériel peut-être attribué aux horizons post-saladoïdes (vers 1000 après J.-C.). À Baillif, dans l’embouchure de la rivière du Baillif, un autre site a fait l’objet de sondages. Une couche étendue de même nature a été découverte après le passage des cyclones Luis et Marilyn en 1995.
L’occupation s’est faite sur une ancienne terrasse alluviale en bordure du lit de la rivière et se prolongeait initialement jusqu’au rivage. Le mobilier très abondant est un peu plus ancien et se rapporte à l’horizon cédrosan-saladoïde (vers 400-600 après J.-C.). La céramique se caractérise par des jattes tronconiques basses souvent peintes en rouge à l’intérieur, avec une lèvre parfois décorée de motifs incisés, et des jattes à haut col décorées de motifs peints en blanc sur fond rouge, ainsi que des couvercles très décorés polychromes, blanc sur noir, rouge et orangé. Des haches taillées dans des coquilles marines de lambis, ainsi que divers outils en pierre ont également été recueillis. La présence de très nombreux restes de poissons, de coquillages et de crustacés témoigne d’une exploitation des ressources marines côtières.
Le site de Saint-Robert à Baillif, découvert sur un morne à 200 mètres d’altitude, dans les fondations d’une maison en construction, a pu faire l’objet d’une fouille de sauvetage. Il a livré les traces d’un habitat matérialisé par une série de trous de poteaux dont l’organisation n’était pas suffisante pour restituer des plans de carbets. Plusieurs fosses ont été découvertes dont une contenant un dépôt de trois volumineux polissoirs en pierre et une sépulture. Celle-ci renfermait les restes d’un adulte recouverts par un fond de jatte à haut col. Elle était accompagnée d’un vase tout à fait étonnant, constitué d’une vasque surmontant un pied décoré de motifs en relief mi-humains mi-animaliers. Il pourrait s’agir d’un fumigateur. Cette occupation se rapporte également à l’horizon cédrosan-saladoïde mais plus tardive avec un style d’aspect baroque, originaire de la basse vallée de l’Orénoque.
Les communes de la Guadeloupe livrent également des haches polies dont on ne connaît pas le contexte archéologique. Ces pièces isolées, parfois très belles, proviennent majoritairement de l’intérieur des terres. Elles signalent une occupation ou une exploitation de la zone forestière. Quelques-unes, très ouvragées, ne sont pas fonctionnelles et devaient avoir un rôle cérémoniel ou de prestige.
Enfin, dans la vallée de la rivière du Plessis, entre les communes de Baillif et Vieux-Habitants, des roches gravées, réparties en deux stations, ont été repérées. La plus importante est située près du Bassin Caraïbe. Elle comporte de très nombreuses gravures réalisées par piquetage sur six roches. Les figurations les plus communes sont des visages stylisés réduits aux seuls yeux accompagnés d’une bouche et entourés d’un cercle. Quelques visages plus élaborés et un personnage complètent l’ensemble. La seconde station, découverte lors d’une prospection, ne compte qu’une seule roche. Ces pétroglyphes ne sont pas datés précisément et on en ignore la signification. Ils sont vraisemblablement liés au chamanisme et à la communication avec le monde des esprits. Tous sont anthropomorphes. Ils sont concentrés dans le sud de la Basse-Terre et constituent un patrimoine emblématique du passé précolombien de la Guadeloupe.
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